« Il appartient à l’homme sage et prudent de parler avec une indulgence et une tolérance extrêmes afin que la douceur de ses paroles puisse inciter chacun à atteindre ce qui convient au rang de l’homme. »
« Sache en vérité que l’âme, après qu’elle a été séparée du corps, continue de progresser dans un état et dans des conditions que ne sauraient changer ni les révolutions des âges et des siècles, ni les hasards et vicissitudes de ce monde, jusqu’à ce qu’elle ait accédé à la présence de Dieu. »
Bahá’u’lláh, Extraits des Ecrits de Bahá’u’lláh, LXXXI